Je suis kaelyn shubael oraephyen et j'ai actuellement vingt-sept ans. Je suis né à eaufolle et je suis duc de val de brume qui pratique la magie à 0/500. Je suis donc duc et en couple. Je fais partie des royalistes. Je suis incarné par matt smith.

Derrière l'écran se cache la p'tite mouette. J'ai vingt ans et je RP depuis trop longtemps pour savoir quand ! peut-être dix ans ? J'aime la musique, le rp et le cosplay, en revanche je déteste la pluie, la chaleur et le temps qui passe trop vite. J'ai découvert le forum par le biais de top-site obsession et je le trouve génial ! le seul truc qui gâche un peu le design serait le message qui s'affiche "vous avez éditez votre message 9238934 fois" xDD. mais tout le reste est parfait ! *^*

Vous pensez sincèrement que je viens de l'une de ces familles nobles qui ont la chance de pouvoir gouverner sur un pays ? Vous êtes de douter de la réalité. Si je fais de mon mieux pour cacher cela à mon peuple, mon entourage et moi-même ne pouvions songer à autre chose que cette malédiction qui pèse sur moi. Les Oraephyen ne font pas partis de ma famille : ils sont stériles. Hélas, il était hors de question que le peuple ni même leurs plus proches amis ne soient au courant de cette terrible histoire. Que quelqu'un d'autre ne vienne à prendre le contrôle sur la région de Val de Brume. C'est alors que j'apparais. Fruit de deux êtres mystérieux, je fus arraché à ma couche par des bandits qui me rendirent au duc et à la duchesse qui prirent la décision de faire de moi leur fils, mais avant tout, un potentiel héritier sur lequel ils auraient un contrôle total... On m'éduqua donc comme si du sang royal coulait dans mes veines même si mes vieux ne s'attachèrent aucunement à moi pour autant... Ils firent seulement le nécessaire pour que je me satisfasse de cette existence à laquelle on me destinait.

En tant que chérubin, j'avouais que je n'appréciais pas les ordres que l'on me donnait. Tout ces devoirs qui me paraissaient futiles pour obtenir un titre qui, de toute manière, je me voyais malgré tout destiné. J'étais néanmoins heureux de savoir qu'un jour, c'est moi qui siègerais presque comme un roi, sur un trône et paré de richesses que nulle autre personnage de la région pourrait porter. Bref, j'étais surtout prêt à recevoir les droits plus que les devoirs, comme tout enfants de mon âge qui désiraient toujours avoir plus de libertés et se soustraire de l'autorité de ses parents. Néanmoins, à chaque fois que l'on ne cessait de me rappeler la chance que j'avais eus, passant de l'état de paysan à celui de futur duc, je renonçais à mes envies d'aventure et de rébellion pour redevenir le petit ange, à l'écoute et docile. Je faisais alors tout mon possible pour être au meilleur de ma prestance, surtout à l'adolescence où je commençais de plus en plus à comprendre l'enjeu de mon destin.

Néanmoins, outre l'oppression de mes parents, désireux de faire de moi un héritier irréprochable, il y avait un autre poids plus considérable : ma future épouse. Demoiselle que l'on a cherché à me faire rencontrer depuis ma plus tendre enfance. On voulait que je la vois de plus en plus souvent. Que la considère avant tout comme une amie avant d'être ma future femme afin que notre relation passionnelle puisse se créer doucement, mais qu'elle finisse quand même par se faire. Malheureusement, elle n'était pas la plus agréable des compagnie. Tout comme moi, elle avait baigné dans un enseignement des plus durs, mais elle ne restait pas moins entêtée, considérant qu'une femme ne devrait pas être l'ombre de son époux, certaine de prendre tout les moyens possibles pour m'arracher la place souveraine. Et cette solution, elle l'obtenue lorsqu'elle entendit une discussion de mes parents par rapport à mes origines. Elle me fit part donc, à ce jour, qu'elle n'avait pas à recevoir des ordres de la part d'un gens du peuple. Que je devais déjà me satisfaire de ce cadeau que l'on m'avait fait et que si j'osais, ne serait-ce qu'une seule fois la contraindre dans une quelconque voie, la vérité finirait par éclater aux grands jours. Nous avions que douze ans, elle n'était qu'une enfant, cependant elle avait déjà toute sa tête.

Comme promis donc, jamais je me montrais menaçant à son égard ou ne la contraignais à prendre la même voie que la mienne. Elle jouissait d'une liberté que nulle autre duchesse ne pouvait se permettre de vanter d'avoir, se pavanant devant les pauvres et faisant mine d'être active quant à l'amélioration des conditions de vie des citoyens de Val de Brume. On la considérait comme la femme parfaite et moderne tandis que je sombrais peu à peu dans l'anonymat. J'étais couci-couça un bon duc, mais certainement pas le plus exceptionnel de tous. On allait parfois même jusqu'à dire que je préférais m'occuper de mon animal de compagnie nouvellement acquis plutôt que de mon peuple qui subsistait. En effet, dès que ma femme commençait à régner, j'avais pris la décision de m'occuper seulement de moi-même et de Ajagara, une femelle guépard qui m'avait été donné alors qu'on l'avait trouvé seule, en pleine nature. Un lien fort s'est créé alors que tout les deux ont avait les mêmes sentiments : On se sentait abandonné de tous. Elle m'avait permis d'accepter cette dure situation sans broncher : être un duc scellé à son pouvoir tout en ayant aucunement les capacités de le faire appliquer. Finalement, n'être qu'un pion dans le jeu des dieux.

Et parmi tout les devoirs que je devais faire, il y avait celui d'avoir des héritiers. Fertile comme ma compagne, on avait conseiller de faire cela le plus tôt possible. Si par exemple, par malheur on viendrait à bout de notre vie à cause d'un accident. On eut donc un fils, dans un premier temps, alors que l'on avait seize ans, aujourd'hui âgé de onze ans, donc. Une fille ensuite, âgé aujourd'hui de neuf ans et un petit frère, tout les deux âgés de huit ans. Enfin, nous venions tout juste de fêter la naissance de deux petites jumelles, l'une totalement identique à l'autre... Bref, nous sommes dorénavant une prétendue grande et belle famille, obligé d'éduquer mes enfants à l'égal de mes parents adoptifs, même si je préfère laisser leur mère s'occuper de cela pour que je puisse faire appliquer ma propre loi presque librement à Val de Brume. Aujourd'hui, j'espère obtenir toujours plus de droits, faisant parti de ces ducs qui espèrent obtenir les pleins pouvoirs sur des terres que nous méritons amplement.